Edito
Risques
Voilà donc la dernière ligne droite pour l’OMC et la conclusion éventuelle du cycle de Doha. Encore une fois la France, faisant corps avec son monde agricole, entend faire de la resistance pour ne pas aller au-delà des efforts considérables déjà demandés aux agriculteurs des pays développés. Tout effort d’adaptation doit être raisonnable et praticable.
Mais si l’on a expliqué les raisons pour lesquels l’accord à l’OMC pourrait être mauvais, on n’a quasiment jamais expliqué celles pour lesquelles il pourrait être justifié.