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Pour Philippe Mangin, président de Coop de France, si la compétitivité de l’agriculture française peut être remise en cause aujourd’hui, c’est parce qu’elle n’a pas su prendre le virage du progrès. Un « ratage » dans lequel le syndicalisme…

Les spécifications des contrats à terme orge de brasserie sont désormais entièrement précisées. Pour les récoltes 2010 et 2011, les contrats se fonderont sur deux variétés de référence : Sébastian pour les orges françaises et Tipple…

72 % des opérateurs interrogés dans 14 pays par Sopexa dans le cadre de son baromètre Wine Trade Monitor, portant sur les vins tranquilles, sont optimistes sur leur activité pour 2011 et prévoient une augmentation de leurs ventes. 58 % d’…
Le rythme de production alimentaire est de 0,4% supérieur au rythme d’accroissement de la population depuis 1950, selon le démographe et historien Hervé Le Bras qui s’est exprimé lors d’un débat organisé par l’Afja (Association française…
Avec une baisse de 21% de son chiffre d’affaires en 2009 par rapport à 2008 et un résultat net en diminution de 29%, le groupe Nicolas Feuillatte a traversé une année 2009 difficile si l’on en croit les chiffres révélé lors de l’assemblée…
La commission de l’agriculture du Parlement européen, tout comme certains Etats membres, s’étonne de l’optimisme des prévisions de marché utilisées par la Commission de Bruxelles pour établir le projet de budget communautaire 2011 (1).…
La question des écarts de compétitivité des filières agricoles au sein de l’UE, au moment où les écarts de performances économiques fragmentent la zone euro, commence à faire tache d’huile. Eurostat l’aborde au travers d’une étude sur l’…
Pour une fois, ce n’est pas la faute que de l’Europe. Egalement responsable de la perte de la compétitivité des exploitations agricoles française, la réglementation hexagonale. C’est le constat que fait la FNSEA dans un…
Le 10 mai, Nyse Euronext a donné le coup d’envoi du marché à terme de l’orge de brasserie, attendu depuis longtemps par la filière. Pour la première journée de cotation, le cours de la céréale a terminé à 158 euros/t.
La déprime des cours du blé français est due avant tout à l’euro surévalué, a expliqué l’économiste-historien Philippe Chalmin, lors de la 25e journée « céréales » du port de Rouen, qui s’est tenue le 6 mai. Un retour de l’euro à des…