Blé

En raison de la guerre en Ukraine qui a provoqué un choc majeur sur les marchés des produits de base, « les prix vont se maintenir à des niveaux historiquement élevés jusqu’à la fin de 2024 », indique la Banque mondiale…

Les pressions inflationnistes, exacerbées par la guerre en Ukraine, accroissent les risques de troubles sociaux et humanitaires dans les pays les plus pauvres au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (MENA), affirme la Banque…

La France importe 10 millions d’hectares chaque année
© Réussir-Agra

Dans un rapport paru ce 12 avril, le cabinet d’étude Solagro traduit les flux commerciaux agricoles français en termes de surfaces importées et exportées. En moyenne sur la période 2010-2016, la France serait exportatrice…

FranceAgriMer relaie l’« inquiétude » des céréaliers face au risque de retournement de marché qui s’accompagnerait d’« un effet de ciseaux ».
Le cahier des charges de la farine Label Rouge est complété par des exigences de réductions d’intrants, ont indiqué le 28 mars ses responsables. Exemple, les apports d’engrais azotés sont plafonnés.

Le Réseau Deleplanque – Saaten-Union, issu du rapprochement commercial des deux semenciers éponymes, veut passer de 35 000 ha à 100 000 ha de blé hybrides d’ici à trois ans, a-t-il annoncé le 23 mars, s’appuyant entre autres…

Ces pays très liés aux blés russes et ukrainiens

Selon ce graphique produit par le directeur général du Club Demeter (entreprises du secteur agricole) Sébastien Abis, 47 pays dépendent à plus de 30% des origines russe et ukrainienne pour leurs importations de blé. Les 20 pays…

Pour les ONG comme pour la Confédération paysanne, le syndicalisme majoritaire et le ministre de l’Agriculture dévoient le concept de souveraineté à l’heure de la guerre en Ukraine. Pour ces organisations, le conflit révèle avant tout…

La filière CRC (Culture raisonnée contrôlée) a présenté le 1er mars une solution blockchain pour valoriser ses données de traçabilité sur le blé tendre jusqu’au consommateur. Cette plateforme, développée avec la…

Pour la FNSEA et les chambres d’agriculture, l’attaque russe en Ukraine présente deux risques majeurs à court terme : la hausse des cours des matières premières, qui pourrait encore pénaliser l’élevage, et l’instauration de sanctions…