Clause de sauvegarde OGM
Les semenciers français se sont dit « excédés » d’un « manque de courage politique » après l’échec le 16 février de la Commission européenne dans sa tentative de forcer la France et la Grèce à reprendre la culture d’un maïs transgénique MON 810. « La frilosité européenne, et surtout française, risque d’avoir de lourdes conséquences dans les années à venir », indique dans un communiqué Philippe Gracien, porte-parole des professionnels des semences et de la protection des plantes (Gnis, Oleosem, Seproma, UIPP).