Conséquences budgétaires et économiques
Les coûts de la réforme du régime du sucre envisagée par Bruxelles – essentiellement celui de l’aide directe découplée aux betteraviers, soit 1,350 milliard d’euros par an en vitesse de croisière – seront compensés par les économies résultant d’une forte réduction des dépenses en restitutions à l’exportation ainsi que de la suppression de la restitution à la production pour les industries chimique et pharmaceutique et de l’aide au raffinage, selon les services européens.