Cours globalement baissiers

Le retour à la normale sur les voies navigables de l’est de l’Europe ne tient plus les cours au nord-Loire. Au Sud, c’est la demande espagnole qui fait défaut. Le maïs ukrainien approvisionne en effet les fabricants d’aliments de la Catalogne. Sur le marché intérieur, amidonnerie et nutrition animale marchent au ralenti et sont peu demandeurs. A noter que les moissons dans l’est de l’Europe sont presque finalisées. Seuls quelques hectares restent à récolter en Russie (290 000 ha sur 1,7M ha semés) et en Ukraine (150 000 ha sur 3,57 Mha semés, 21Mt déjà engrangées).