Dans le Bordelais, l’agroforesterie attend une réglementation plus claire


L’agroforesterie reste au stade « expérimental » dans le vignoble bordelais, où la plupart des projets sont récents. Maints pionniers se lancent peu à peu, en s’intéressant d’abord au sol, et en s’inspirant de leurs confrères. Mais la généralisation de la pratique, préviennent les producteurs, supposera d’éclaircir la réglementation en matière de calcul des droits à produire, pour que l’arbre n’entraîne pas de réduction des volumes autorisés.
Pour l’heure, dans le vignoble bordelais, « l’agroforesterie en est au stade expérimental », résume Bernard Farges, vice-président du Comité interprofessionnel des vins de Bordeaux (CIVB), et président du comité national des interprofessions (Cniv).
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