Des prix subjectifs
«Les fruits et légumes sont toujours cités en exemple par les médias pour illustrer le prix excessif des aliments. Or, peu de produits coûtent aujourd’hui seulement 2 à 3 euros/kg, souligne Angélique Delahaye. Nous devons renforcer notre communication, afin de ramener la perception des consommateurs à des considérations plus objectives. » « Le producteur a une idée du prix verticale, qui va du semencier au consommateur, alors que ce dernier calcule différemment, explique Egizio Valceschini, responsable des affaires européennes à l’Inra.