Distillation de crise
Sans attendre une réponse de Bruxelles, afin d’être prêt avant la date de la vendange, FranceAgriMer a lancé la procédure de distillation de crise à hauteur de 600 000 hl, a annoncé l’office. Les viticulteurs ont jusqu’au 31 juillet pour souscrire un contrat, qui pourra être rompu en cas de refus de la Commission européenne. Cependant, FranceAgriMer a fait savoir que la demande de distillation formulée par la France, y compris en terme de prix payé au producteur, n’a pas été accueillie négativement par Bruxelles lors du comité de gestion du 13 juillet.