Echalote
La France pourrait se mettre en règle prochainement
Le commissaire du gouvernement du Conseil d’Etat français a estimé le 1er décembre que la France devait autoriser la commercialisation des échalotes « de semis », qui ne méritent pourtant pas aux yeux des producteurs nationaux le nom d’« échalotes».
« Le seul fait que les producteurs de Bretagne soient plus menacés sur le plan commercial par les échalotes de semis hollandaises que par les échalotes grises ne peut suffire à justifier une interdiction de dénomination », fait valoir François Seners, le commissaire du gouvernement – qui dit le droit et ne représente pas le gouvernement – dans ses conclusions sur cette affaire.