L’action d’Inaporc bridée par les « écarts de culture »
Dans un rapport paru en avril, le CGAAER pointe les « écarts de culture » entre amont et aval, comme un frein à l’action de l’interprofession porcine (Inaporc). Mais aussi la confrontation de « personnalités affirmées ». Au centre des débats, la segmentation du marché de la viande porcine.
Plus d’un an après que la Fict (industrie de la charcuterie) a claqué la porte de l’interprofession porcine (Inaporc), le ministère de l’Agriculture met en exergue dans un rapport paru en avril « les écarts de culture » entre amont et aval comme l’un des freins à l’action interprofessionnelle. « La modestie des réussites d’Inaporc trouve en partie, son origine dans les écarts de culture entre les représentants de l’amont et ceux de l’aval », constatent les auteurs (CGAAER).
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