Le cas Greencore
En Irlande, Greencore a annoncé, au mois de mars dernier, la fermeture de ses usines sucrières, pour une prime d’abandon de quotas de 146 millions d’euros (200 000 tonnes), sans avoir passé d’accord particulier avec ses employés, explique-t-on à l’Effat. D’où, en mai, des conflits portés devant la Cour du travail, qui a donné raison aux syndicats, mais dont les arrêts n’ont pas de force obligatoire.