Le CNPF, en première ligne pour développer la forêt privée française
Les experts du ministère de l’Agriculture préconisent, dans un rapport publié le 28 septembre, le basculement vers un seul établissement public au lieu de deux aujourd’hui pour assurer le développement forestier de la forêt privée. L’objectif est d’optimiser la répartition des « centimes forestiers », financement principal du conseil forestier.
Le CGAAER (Conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux) considère plus efficace « le basculement vers un seul établissement public assurant le développement forestier en forêt privée : le CNPF (Centre national de la forêt privée) ». Pour l’heure, les chambres départementales d’agriculture assurent aussi une partie du développement forestier en forêt privée. Mais cette organisation ne semble pas répondre au souhait de l’Etat de développer le prélèvement du bois dans les forêts privées, notamment des parcelles de 4-25 hectares.