Coop de France
Les coopératives céréalières déplorent les lenteurs de l’administration
De la définition des carburants renouvelables à l’autorisation de transport en camions de 44 tonnes en passant par le développement des capacités de stockage, les coopératives céréalières attendent des clarifications de l’administration. C’est ce qu’a souligné Hubert Grallet, président de Coop de France métiers du grain, à l’occasion de l’assemblée annuelle de son organisation, le 15 novembre à Paris.
Une « situation inadmissible » : voilà, selon Hubert Grallet, président de Coop de France métiers du grain, où mène la non-transposition en droit français du volet durabilité de la directive européenne sur les énergies renouvelables. Comme les autres Etats membres, la France a jusqu’au 5 décembre pour l’effectuer, le texte devant s’appliquer dès le 1er janvier prochain.