Réforme du régime du sucre
Les États membres confirment leurs hésitations
Les États membres de l’UE, réunis le 7 juin à Bruxelles au niveau du Comité spécial agricole (CSA), ont confirmé leurs hésitations et leurs divergences d’appréciation lors d’un nouvel échange de vues sur la réforme de l’organisation commune du marché du sucre. Ils attendent maintenant la communication chiffrée que compte soumettre la Commission européenne le 14 juillet pour reprendre le dossier
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Au cours de la discussion du CSA, l’Allemagne, tout comme la Suède et la Slovaquie, a apporté son soutien, en tant que base de travail, à l’option 2 déjà avancée par la Commission (baisse du prix dans l’UE pour l’établir à un niveau d’équilibre d’environ 450 euros/t, en se fondant sur l’hypothèse d’une suppression progressive des quotas une fois que les volumes d’importation et de production auront été stabilisés).