Les fabricants d’aliments veulent de la qualité et des prix
La relance des protéagineux va passer par l’alimentation animale. « En féverole, nous ne vendrons guère plus de 200 000 à 300 000 tonnes à l’Egypte pour le débouché alimentation humaine, a souligné Benoît Carrouée, de l’Unip, le 23 juin. Or nous en sommes déjà à 200 000 tonnes exportées vers ce pays. L’excédent de la production sera donc valorisé en alimentation animale ». Ce qui signifie que les prix seront plus faibles… Et qu’il faudra séduire les fabricants du bétail. En féverole comme en pois.