L’horticulture peine à relancer la vente à la ferme, faute de cadre juridique national
Quinze jours après que la secrétaire d’Etat Agnès Pannier-Runacher a déclaré devant le Sénat que les plants potagers étaient considérés comme des produits de première nécessité, aucun texte réglementaire n’autorise les horticulteurs à accueillir des clients sur leurs exploitations, regrette la FNPHP (horticulteurs et pépiniériste, FNSEA). L’arrêté du 23 mars (relatif à l’état d’urgence sanitaire) n’a pas encore été modifié.
Mots-clés