Protéine végétale : technique et génétique, deux leviers « indispensables »
La recherche doit concentrer ses efforts sur « la plante et sa culture » (soja, colza, tournesol, pois…) afin d’améliorer l’autonomie protéique de la France et les dynamiques entre les filières végétales et animales dans ce domaine, a expliqué le directeur scientifique adjoint agriculture à l’Inrae, Jean-Louis Peyraud, à l’occasion du colloque du programme Cap Protéines (Idele/Terres Inovia), le 31 mai. « Le gros frein est sur la plante et sa culture, pas sur l’alimentation animale », affirme-t-il.
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