Ubifrance : vendre du rêve plutôt que de la matière première
Hervé Henriotte, chef du service « vin et spiritueux » à Ubifrance, au cours d’un exposé sur le comportement des consommateurs, n’a pas dressé un bilan très positif du modèle économique des filières vinicoles des pays du nouveau monde. « Le vin australien se vend bien mais la crise est autrement plus grave pour les viticulteurs en Australie qu’en pays de Loire ou en Languedoc-Roussillon », a t-il observé. La valeur ajoutée ne revient pas aux producteurs mais aux actionnaires des grandes marques, selon lui.