Céréales
Un bon courant d’affaires pour les céréales françaises
Dans un contexte porteur et rémunérateur, les céréales françaises se vendent bien. Le blé tire parti d’une moindre concurrence à l’exportation, l’orge bénéficie d’une demande active et le maïs retient l’intérêt des fabricants d’aliments.
L’office des grandes cultures a réévalué à la hausse de 300 000 tonnes, dans ses prévisions de novembre 2006, les exportations françaises de blé vers les pays tiers pour les porter à 6,3 millions de tonnes. En revanche, les ventes de blé tendre vers l’UE sont revues à la baisse (8,2 Mt), les fabricants d’aliments préférant utiliser le maïs. Au niveau des prix, on constate une pause dans la hausse des cours pour le blé et le maïs. En revanche, les cours du blé dur continuent de progresser en raison des besoins de l’Italie et de l’Algérie.