Un risque parasitaire accru
Demain, les agriculteurs devront également gérer le parasitisme. La montée des températures risque d’accélérer les cycles de développement des insectes. « Aujourd’hui, nous manquons probablement de spécialistes en entomologie », estime un professionnel. L’innovation semble plus dynamique en matière de maladies. Mais homologuer de nouvelles molécules coûte de plus en plus cher. « Si on utilise massivement les mêmes solutions, les résistances risquent d’augmenter », prévient Claude Maumené, spécialiste fongicides chez Arvalis.