Un syndicat unique pour toutes les semences françaises
La création d’une structure unique rassemblant les six fédérations de semenciers existant actuellement se précise. En chantier depuis un an, ce syndicat inter-espèces est, selon Régis Fournier, président de Seproma, « plutôt dans sa phase de mise en œuvre, de construction ». Il s’agirait d’une émanation des entreprises de semences, se situant « à côté » des structures existantes. Selon Seproma, ce nouveau schéma répond aux attentes du Gnis (Groupement national interprofessionnel des semences) et du ministère qui apprécieraient d’avoir un interlocuteur unique sur des sujets transversaux.