Une farine plus propre sur le plan sanitaire
Selon Goëmar et Paulic, l’ozonation du grain de blé permet de détruire les germes pathogènes, les champignons, les insectes, les larves ainsi que les molécules d’insecticides, qui ne sont pas ou quasiment pas détectées. Le procédé a également une action sur les mycotoxines. D’après les analyses menées avec l’IFBM (Institut français de la brasserie et de la malterie) et des laboratoires universitaires, l’efficacité est de 94 % sur la destruction des ochratoxines A, 36 % sur le nivalénol et 37 % sur le déoxynivalénol (Don).