Une revendication : le blé à 400 euros
Face à la dépréciation du revenu des céréaliers (la compétitivité du blé s’enfonce peu à peu en Europe et aux États-Unis, face à l’Argentine, à l’Ukraine et au Kazakhstan, selon l’OPG), les adhérents de l’Organisation des producteurs de grains sont tentés de revendiquer un prix minimum pour le blé, comme l’ont fait les producteurs de lait pour leur produit. Ils n’ont pas encore fixé de montant, mais ils pensent s’aligner sur le même que celui des producteurs de lait : 400 euros la tonne.