Castration des porcelets : éleveurs et abatteurs sont loin d’un accord
Quelques semaines avant l’interdiction de la castration à vif, éleveurs et abatteurs négocient la prise en charge du surcoût lié à l’anesthésie. Leurs fédérations respectives affichent des positions encore très éloignées : +13 ct/kg pour la FNP, +2 ct/kg pour Culture Viande.
Dans le match qui se joue sur la fin de la castration des porcelets, éleveurs et abatteurs affichent encore des positions très éloignées à trois semaines du coup de sifflet final. Au 1er janvier 2022, la castration à vif des porcelets sera interdite. Les éleveurs souhaitant poursuivre cette opération devront assurer l’anesthésie et l’analgésie des animaux. Avec à la clé un surcoût qui fait l’objet de négociations.
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