Désertification vétérinaire : la place de la santé mentale
La santé mentale des praticiens ruraux est meilleure qu’en canine, mais la situation pourrait évoluer avec le délitement du maillage vétérinaire.
Avec un taux élevé de burn-out et trois à quatre fois plus de suicides qu’en population générale, la profession vétérinaire tente de comprendre pourquoi ses membres sont particulièrement exposés au risque d’une dégradation de leur santé mentale. Le deuxième volet d’une étude dévoilé, le 25 mars, par l’Ordre des vétérinaires et l’association Vétos Entraide confirme les principaux facteurs de stress : le nombre de clients reçus chaque jour, la charge de travail, les conflits avec les collègues, la peur de l’erreur et des blessures, ainsi que les problèmes financiers.
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