L’Ademe appuie les bénéfices écologiques d’un régime moins carné
L’Agence de la transition écologique voit dans les régimes moins carnés un moyen de « libérer des terres » pour faciliter l’essor de la bio et la relocalisation.
Dans une synthèse, éditée en décembre 2020, sur l’empreinte des régimes alimentaires des Français sur l’énergie, les sols et le climat, l’Ademe confirme sans détour l’intérêt de diminuer la part des protéines animales consommées. Au-delà de son intérêt sur la question climatique, conclut le rapport, « réduire la part carnée de l’alimentation permettrait de libérer des terres en France et hors de France de manière significative, de faciliter ainsi la conversion en bio des systèmes agricoles et de relocaliser des productions pour les besoins domestiques ».
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