Bio : « Trouver des moyens supplémentaires est indispensable »
Lors de la présentation de ses chiffres annuels, l’Agence bio a de nouveau demandé une plus juste répartition des contributions volontaires obligatoires (CVe, anciennes CVO) interprofessionnelles. Des déclarations qui ont « agacé » les interprofessions, avec lesquelles le groupement d’intérêt public espère maintenir le dialogue, explique son président Loïc Guines, par ailleurs élu de Chambres d’agriculture France (ex-APCA). Car leur implication, comme celle du ministère, sera essentielle pour relancer la consommation de bio, plaide-t-il.
Vous avez jugé lors de la présentation des chiffres annuels que la répartition des contributions volontaires étendues n’était pas « entendable » face à la contribution des producteurs bio. Quelle a été la réaction des interprofessions ?
Les mots ont agacé, parce qu’ils ont sans doute été trop forts. Il faut reconnaître que les choses avancent dans les interprofessions sur le bio, sur la communication comme sur la connaissance des filières, et il ne faudrait pas casser cette dynamique.