Accords de libre-échange : Interbev et des ONG demandent un moratoire
L’interprofession bétail et viandes, l’Institut Veblen et la Fondation pour la nature et l’homme ont réclamé, le 31 octobre, un moratoire sur les accords commerciaux. Le but ? Les rendre cohérents avec la politique environnementale de l’UE. Tout en mettant en place une réciprocité des normes effective.
C’est une nouvelle étape dans le travail commun mené par Interbev (interprofession bétail et viandes), l’Institut Veblen et la FNH (Fondation pour la nature et l’homme) : le 31 octobre, à moins d’un an des élections européennes de juin 2024, les trois organisations ont appelé la Commission européenne à « établir un moratoire sur les accords de libre-échange ».