Interprofession

Semae (interprofession des semences et plants) a annoncé le 17 février que 28 variétés patrimoniales de légumes accèdent à son tout nouveau fonds de soutien aux semences potagères du domaine public. Vingt-huit demandes ont été…

La Confédération paysanne souhaite une plus grande place au conseil d’administration de l’interprofession semencière Semae (ex-Gnis) avant d’y entrer. Un décret lui en ouvre les portes au titre d’utilisateurs de semences. Pas assez…

L’interprofession semencière, rebaptisée Semae (ex-Gnis), a donné le 27 janvier des gages d’ouverture et de transparence, en dévoilant son projet stratégique. Elle tend la main aux « autres façons de produire ».

Le Gnis (interprofession des semences et plants) lance un fonds de soutien pour soutenir les semences potagères passées dans le domaine public, autrement dit celles de plus de 25 ans, annonce un communiqué le 27 octobre. « …

L’interprofession des huiles et protéines végétales Terres Univia a annoncé le 2 octobre le lancement du programme Maghreb oléagineux, qu'elle cofinance avec l’UE, « pour dynamiser les filières oléagineuses tunisiennes et…

Le Gnis (interprofession des semences et plants) s’est défendu le 19 juin après l’émission Cash Investigation, « Multinationales : hold-up sur nos fruits et légumes », la veille sur France 2. Les acteurs de la filière…

L’interprofession des semences et plants (Gnis), qui a décidé d’« ouvrir ses instances à l’ensemble des organisations syndicales représentatives », a reçu, lors d’un entretien fin mars, le feu vert de Didier Guillaume, a-t-…

Un rapport du CGAAER pointe des conflits d’intérêts au Gnis, que dénonce la Confédération paysanne. L’interprofession répond que ses missions de service public sont assurées en toute « indépendance et impartialité ».
Le 19 juin, le syndicat des trieurs à façon de France (Staff) a martelé son souhait d’intégrer l’interprofession des semences. Il regrette l’absence autour de la table du Gnis des trieurs, des Cuma et des agriculteurs qui, avec…
D’ici 2035, l’approbation des dérogations en semences biologiques ne sera plus automatique. C’est du moins ce que souhaite l’Europe. En France, le Gnis espère une sortie précoce à l’horizon 2025.