Négociations commerciales

Avec un calendrier exceptionnellement raccourci et dans un contexte de ralentissement global de l’inflation, la saison des négociations commerciales s’annonce pleine d’incertitudes pour les entreprises de l’agroalimentaire.
Quatre associations de consommateurs réclament la « transparence totale » sur les marges des industries alimentaires. Ces dernières, par la voix de l’Ania, se déclarent prêtes à le faire... si les distributeurs le font aussi.

« Les box des négociations sont rouverts alors que moi, producteur de lait et président d’OP [organisation de producteurs, ndlr], je n’ai pas négocié mon prix du lait pour l’année 2024 », a déclaré le trésorier de la FNPL…

La proposition de loi du groupe La France insoumise-Nupes visant à lutter contre l’inflation en établissant des prix planchers et en encadrant les marges dans l’agroalimentaire a été vidée de sa substance lors de son examen en…


Dans un communiqué du 15 novembre, la FNSEA assure qu’elle sera « inflexible sur la logique de construction du prix en marche avant » dans le cadre de la mission gouvernementale transpartisane, annoncée par le…

Les prix demandés par les industriels aux distributeurs pour 2024 dans le cadre des négociations commerciales sont « plutôt à la hausse » mais moins qu’en 2023, a indiqué, le 15 novembre sur RMC, l’Ilec qui…

Le seuil de 350 millions d’euros de chiffre d’affaires pour différencier les fournisseurs est conservé. Les négociations finiront le 15 janvier pour les entreprises au-dessous de ce seuil et au 31 janvier pour les autres.
Alors que le Parlement examine le projet de loi visant à avancer les négociations commerciales, les distributeurs sont en désaccord sur leur capacité à obtenir des baisses de tarifs. À l’Assemblée, la gauche propose d’autres mesures.

Le Sénat a adopté, le 26 octobre, le projet de loi visant à anticiper les négociations commerciales dans la grande distribution. Le texte, qui ira en commission mixte paritaire, est sensiblement le même que celui voté par les sénateurs…

Estimant que l’avancée des négociations sera « probablement inefficace », les sénateurs de la commission des affaires économiques n’ont pas apporté de modification majeure au texte issu des discussions à l’Assemblée, hormis…