La viande in vitro toque à la porte de l’Efsa
La start-up française Gourmey est la première à solliciter l’approbation de l’autorité sanitaire européenne pour autoriser la commercialisation de viande in vitro. En l’espèce, du foie gras.
C’était attendu. La première demande d’approbation pour de la viande in vitro vient d’être déposée auprès de l’Union européenne. C’est l’entreprise française Gourmey, qui fabrique du foie gras à partir de cellules cultivées, qui s’est lancée la première. Elle a annoncé le 26 juillet, avoir déposé des demandes d’autorisation auprès de cinq marchés. La jeune pousse vise Singapour, les États-Unis, le Royaume-Uni, la Suisse et l’Union européenne.